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 got me hoping you'll save me right now (sogelos)

but those names will never die
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Sofia K. de Beauregard

Sofia K. de Beauregard
SOUL GODDESS Φ and you set sparks in my soul
DEBUT DE TON ODYSSEE : 20/11/2016
PARCHEMINS : 39
LOCALISATION : vit à glyfada, dans les quartiers ultra-riches du sud d'athènes, avec ses collègues célèbres - seule condition à laquelle elle a eu le droit de venir en grèce.
INCARNATION : holland (on fire) roden
SOUL GODDESS Φ and you set sparks in my soul
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Mar 20 Déc - 18:51
got me hoping you'll save me right now
ANGELOS & SOFIA
Elle avait bêtement cru que revenir au pays de ses ancêtres changerait tout. Que fuir loin d'Hollywood lui permettrait de distancer ses chimères. C'était idiot. Le scénario était le même, les figurants interchangeables; seul le décor avait changé, au final. Elle se contentait de jouer encore et encore le même film. On l'admirait, presque comme si elle n'était pas humaine. A l'époque de Twilight, elle s'était même demandé si elle n'était pas une sorte de vampire idiot. Les grecs, eux, voyaient en elle un écho de leurs anciens dieux - Vogue Grèce avait d'ailleurs titré dès la semaine précédente "Aphrodite de retour". Bêtises. Bien sûr, sa mère adorait. Mais elle, elle avait toujours un frisson quand on la comparait à la déesse - ou pire, à la redoutable Lampros. Elle ne voulait pas de tout ça. Tout ce qu'elle voulait, c'était s'abandonner aux danses et à la musique, sa tête et son coeur vibrant à l'unisson avec les basses. En communion avec l'humanité, parce qu'elle ne se sentait jamais aussi humaine qu'en ces instants. Dans cette boîte, sous le feu des stroboscopes, elle avait le sentiment de n'être rien de plus qu'une jeune femme normale, et certainement pas une célébrité. Elle voguait de cavalier en cavalière, surprenait parfois des yeux écarquillés, et toujours l'éternelle retenue des gens à son égard. Pas étonnant que le videur l'ait laissée entrer sans rechigner - on ne lui refusait jamais rien. Les regards la caressaient comme les ailes délicates d'un papillon, et, un bref instant, elle croisa les yeux de quelqu'un qui aurait pu être l'archétype des princes charmants de son enfance - avant d'être de nouveau emportée au loin par les danses. Echevelée et couverte de transpiration, elle doutait d'être encore la si jolie femme que l'on décrivait souvent - et qu'elle doutait même être cette personne quand elle se trouvait à l'apogée de sa gloire. Les mouvements de foule, en revanche, ne trompaient personne - masse humaine centrée sur elle, comme si elle était l'aimant qui les soudait tous et les attirait presque irrésistiblement.
Peut-être même un peu trop. Elle sentit la forte poigne sur son poignet et l'odeur avinée qui l'accompagnait. Pivota sur ses talons, choquée par le fait que quelqu'un ait osé la toucher alors que personne n'osait jamais la toucher, et observa l'homme répugnant qui la regardait comme si elle était la huitième merveille du monde et lui appartenait, une lueur de folie dans les prunelles. Ce qui la terrifia encore plus. 'Sofia. Je savais qu'un jour j'allais te rencontrer. J'ai vu tous tes films, je sais tout de toi.' Il raffermit sa poigne autour de son bras, lui arrachant un petit cri de surprise et douleur, et elle tenta de se dégager, cherchant désespérément une issue aux alentours. Avant de réaliser que l'homme s'était assombri. 'N'essaie pas. Tu sais qu'on est faits l'un pour l'autre. Tu ne le ressens pas? Tu es à moi.' La voix était devenue rauque, la mâchoire serrée. Même dans la musique trop forte, elle en avait entendu chaque mots. Peu être aussi parce qu'il avait réduit considérablement la distance entre eux. C'était la première fois qu'on portait la main sur elle, et glacée d'effroi, elle était incapable de réagir. Elle qui croyait en l'humanité et lui donnait tout sans retenue, elle découvrait que l'humanité n'était pas que beauté. 'Lâchez-moi. S'il vous plaît.'


electric bird.
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Angelos Soutzo

https://metamorphoses.forumactif.org/t319-we-dance-we-kiss-we-sch
Angelos Soutzo
Catin de LM, pour vous servir.
DEBUT DE TON ODYSSEE : 20/06/2016
PARCHEMINS : 1089
INCARNATION : Max Irons
Catin de LM, pour vous servir.
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Sam 7 Jan - 2:11
got me hoping you'll save me right now
Sofia & Angelos
What is it about possessing things? Why do we feel the need to own what we love? And why do we become such jerks when we do? We've all been there. You want something, you possess it - and by possessing it, you lose it.

Aujourd’hui était ton day-off, ce qui voulait dire que tu avais la soirée pour toi, tu pouvais en faire ce que tu voulais. Alors comme bien souvent tu étais sorti avec d’autres collègues du bar pour un autre club. Ce soir vous vous étiez tous et toutes rejoints dans une boite de nuit branchée. Vous n’aviez pas eu trop de mal à rentrer, vous aviez votre petite réputation alors le club savait qu’en vous voyant ici, ça ne ferait qu’attirer du monde. Surtout toi, tu le savais. C’était ton arrivée qui avait sauvé le bar de strip-tease où tu travaillais, la fréquentation était repartie à la hausse peu de temps après.
Si vous aviez passé une partie du début de soirée tous ensemble, vous vous étiez vite dispersé, certains sur la piste de danse, se déhanchant comme si rien d’autre n’existait, d’autres cherchaient une quelconque conquête avec qui passer le reste de la nuit, et il y en avait une poignée d’autres qui profitaient du bar. Toi, tu faisais un peu les trois. Même s’il ne te fallait pas souvent grand-chose pour trouver quelqu’un, il suffisait d’un touché, un seul. Tu avais appris à contrôler un peu cette part de toi, sans jamais vraiment pouvoir couper le flux, mais au moins tu arrivais plus ou moins à faire en sorte que les gens n’aient plus systématiquement envie de se jeter sur toi et t’arracher tes fringues. Suffisamment de tes chemises en avaient souffert…

Tu observais la foule un verre à la main, cherchant un regard, une silhouette qui te ferait plus envie qu’une autre, quelqu’un qui pourrait, le temps d’une nuit, te faire oublier à quel point tu te sentais seul. Une jeune femme attira ton regard, elle évoluait comme si elle était parfaitement dans son élément, passant de bras en bras, dansant sans se soucier avec qui, juste en profitant de l’instant. Elle était gracieuse, un ange au milieu des pauvres humains que vous étiez. Son visage te disait quelque chose, tu étais presque certain de l’avoir déjà vu quelque part, mais impossible de mettre un nom sur ses courbes graciles et cette crinière incendiaire.
Tu t’apprêtais à détourner le regard, poursuivant ta recherche, quand ton regard capta quelque chose qu’elle n’avait pas encore remarqué. Un homme patibulaire la fixait et s’approchait dangereusement d’elle, bousculant parfois au passage d’autres clients de la boite. Tu terminas ton verre d’une traite, fit signe à un des barmen que tu connaissais, lui indiquant rapidement la jeune femme, pas un seul mot ne fut échangé, mais il avait compris le message « préviens les videurs, il va peut-être y avoir du grabuge ». Sans plus attendre tu te dirigeas d’un pas décidé, sans courir pour autant, l’homme aurait pu suspecter quelque chose et tu craignais que la jeune actrice –tu venais de te rappeler où tu l’avais vu, pour son nom c’était autre chose– ne fasse les frais de la violence de ce type que tu n’avais pas besoin d’approcher pour voir qu’il ne devait pas avoir bu qu’un verre. Tu te glissas aisément jusqu’à eux, venant passer un bras léger mais possessif autour de la taille fine de la rousse. « Hey cousine, tu viens en ville et tu ne me préviens même pas ? J’ai dû l’apprendre de ma mère, tu devrais avoir honte ! » la réprimandas-tu avant de venir la serrer dans tes bras comme si vous vous connaissiez effectivement depuis des siècles. « Les videurs sont prévenus, jouez-le jeu le temps qu’ils arrivent. » lui soufflas-tu doucement à l’oreille avant de te redresser avec un sourire avant de tourner vers le type qui déjà fronçait les sourcils comme s’il tentait de connecter les deux pauvres neurones qui lui restait. « T’es qui ? Je t’ai jamais vu et je connais tout de Sofia. » grogna-t-il sans pour autant lâcher le bras de la jeune femme. « Visiblement pas tout. J’aimerais que vous relâchiez le bras de ma cousine en fait, vous lui faites mal. » exigeas-tu avec un aplomb sans faille. Il allait sans doute répliquer, mais vous ne le saurez jamais puisque les vigiles arrivèrent, demandant à l’homme de les suivre sans faire d’histoire. Vu qu’ils faisaient tous les deux une tête de plus que lui, et au moins dix kilos de muscles en plus il n’eut pas d’autre choix que de la lâcher et sortir. « Désolé. » t’excusas-tu en relâchant l’étreinte que tu lui avais imposé pour votre rôle et en te tournant vers elle. « Vous allez bien ? » t’enquis-tu en prenant délicatement son poignet pour constater la marque rouge que l’homme avait laissé. « Vous devriez mettre quelque chose dessus, vous pourriez avoir un bleu. Nous pouvons demander au barman, il doit avoir des torchons propres pour mettre des glaçons et poser ça dessus si vous le souhaitez. » lui proposas-tu, ajoutant un signe de tête vers le bar où le barman en question avait un œil sur vous, montrant ta bonne foi quant à l’aide que tu voulais apporter. Tu ne voulais pas qu’elle pense être passé d’un gros lourd à un autre.
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Hermès express
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