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 war of hearts (asler)

but those names will never die
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Kamber E. Laskaris

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Kamber E. Laskaris
AMAZON ≈ before you start a war, better know what you're fighting for
DEBUT DE TON ODYSSEE : 03/09/2016
PARCHEMINS : 81
INCARNATION : camille rowe-pourcheresse aux cheveux d'or.
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Dim 18 Sep - 22:04
       
war of hearts

   
- ASLAN & KAMBER -

   

no matter how many deaths that i die i will never forget, no matter how many lives that i live, i will never regret. there is a fire inside of this heart, and a riot about to explode into flames.

   Il l'avait longtemps cherchée. Elle l'avait longtemps observé. A se demander qui traquait, et qui était traqué. Qui était le chasseur, qui était la proie. Des gens qui la pourchassaient, elle les comptait par dizaines. Ceux qu bon côté de la loi, ceux du côté obscur, et ceux qui dansaient entre les deux. Les anciens amis qui lui avaient tourné le dos et qui n'avaient pas fait long feu, les ennemis de toujours qui n'avaient pas fait long feu non plus. Lui,c'était différent. Il la traquait, avec la précision que seul un flic pourrait avoir. Représentant de la loi trop zélé, ou flic véreux, peu importait, au fond - il n'aurait pas une espérance de vie très longue s'il s'approchait trop d'elle. Au début, elle ne s'était pas méfiée. Un seul être parmi tous ceux qui voulaient sa tête sur un pieu. Puis elle avait remarqué l'acharnement - comme si toute cette histoire était une affaire personnelle. Tellement de gens avaient fait de leur vie des affaires personnelles avec sa famille. C'était un peu la tradition, chez elles. En même temps que le titre de reine et la ceinture, on héritait des erreurs de celle qui avait occupé le trône avant soi. Non pas que sa mère ait fait tellement de faux pas. Elle avait été une regina plus qu'exemplaire, un modèle pour toutes.

Si longtemps qu'elle n'était pas allée sur le terrain. Ce n'était pas à la reine de se salir les mains. Elle avait une armée, pour ça. Elle, son job,c'était d'être le cerveau dans l'ombre, la coordinatrice mythique que personne ne voyait jamais. Personne ne connaissait son visage. Certaines personnes les moins gradées de l'Astrea 'avait aucune idée de ce à quoi elle ressemblait. De son nom. De son identité. Elle n'était qu'un titre. Elle n'allait pas sur le terrain, sauf conditions exceptionnelles. Et voilà que ce type se pointait et qu'elle fichait tout en l'air. Pas étonnant qu'Hermione se méfie tellement. Les cheveux blonds attachés en queue de cheval haute et serrée, les vêtements sombres, l'arbalète à poulie - elle avait toujours préféré les armes traditionnelles , elle se fondait dans les ombres qui couraient sur les toits d'Athènes. Tellement de gens qui ignoraient à quel point les cafards qui couraient sous leur cité étaient nombreux. Et elle en faisait partie. Lui, elle ne savait pas trop quoi en penser. Flic en civil qui arpentait la ville dans une quête vaine - parce qu'il ne mettrait jamais la main sur elle. Un instant, elle se demanda ce qu'il faisait. S'il rentrait chez lui, si quelqu'un l'attendait. Il n'était qu'un visage flou sur les photos qu'avaient prises ses guerrières, une vague menace qui la traquait, tout comme elle le traquait en cet instant.

Souplement, elle descendit les escaliers de secours de l'immeuble et sauta au sol, aussi silencieuse qu'un chat. Elle tuait dans l'ombre, sa ceinture brillant à sa taille. C'était la dernière chose qu'ils voyaient tous avant qu'elle ne les abatte. Ils n'avaient aucune chance. N'avaient jamais eu la moindre chance. Ils avaient simplement le droit de savoir qui leur ôtait la vie, dans leurs derniers instants. Lui non plus, ne ferait pas long feu. C'était ce qu'elle était supposée faire, ce que l'on attendait d'elle. Elle se hissa en hauteur, sur un mur, une source de lumière dans le dos, de telle sorte qu'on ne pouvait distinguer son visage. De telle sorte aussi qu'une échappatoire était facile, si les choses tournaient mal. Il ne l'attraperait jamais. Elle rabattit sa capuche noire sur ses cheveux, et attrapa un carreau à la pointe aiguisée dans son carquois. Elle ne pouvait pas s'offrir le luxe d'une exécution sommaire; elle avait besoin de savoir qui l'envoyait, qui l'avait jeté sur sa piste. Un bruit de pas, et elle le vit s'arrêter face à elle, sachant pertinemment qu'il ne pourrait distinguer les traits de son visage. Elle, elle pouvait distinguer les siens - des cheveux aussi sombres que la nuit dans laquelle ils se trouvaient, une mâchoire volontaire. Pour lui, elle resterait la Regina, et ne serait jamais Kamber, comme pour tous. Juste un titre. Pas un nom. 'On dit que tu me cherches.'


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Aslan S. Kornephoros

Aslan S. Kornephoros
héros et demi-dieux
DEBUT DE TON ODYSSEE : 26/08/2016
PARCHEMINS : 24
INCARNATION : Tyler Hoechlin
héros et demi-dieux
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Mer 28 Sep - 22:31
We'll stand stranger to brother
This fire won’t go out though just a flicker it may be, shifting through the shadows to a vision we can’t see. Hold fast to one another, we'll stand stranger to brother. This burden weighs so heavily, when our demons we must carry. Clinging to this fleeting breath, dying for a fighting chance.

Les choses avaient tellement perdu de leur sens depuis qu'il avait vu son monde s'écrouler, il y a 15 ans de cela. 15 ans ... 15 ans déjà ... Et dire qu'il en avait aujourd'hui 30. C'était officiel, il avait passé la moitié de son existence à vivre dans le mensonge, et l'autre moitié à se retrouver paumé comme jamais. Il encaissait bien le choc, peut-être, au final. Parce que les gens ne se doutaient jamais de toutes les merdes qu'il se trimbalait, du sacré squelette qu'il tentait tant bien que mal de maintenir planqué dans le placard, de la tonne de saloperies qu'il planquait sous le tapis. Peut-être parce qu'il se donnait du mal, et qu'il faisait ce qu'il fallait pour remplir ses objectifs. C'était son truc à lui, ça. De se fixer des objectifs, d'avoir des buts dans la vie, et de tout faire pour les atteindre et obtenir tout ce qu'il convoitait. Bon, il n'en était quand même pas rendu à écrire de longues listes, à cocher ou à rayer ce qu'il était parvenu à faire et à réaliser, ou à utiliser des codes couleurs selon les thématiques. Cela avait toujours bien plus été le truc de sa mère, ça. Sa mère ... Aujourd'hui encore, il se sentait terriblement perdu à son sujet. Une part de lui lui en voulait à mort et ne lui pardonnerait jamais d'avoir menti. Il ne la jugeait pas sur le fait d'avoir trompé son mari, ça, c'était leurs histoires de couple, cela ne le regardait pas. Mais le fait de n'avoir rien dit, de ne lui avoir rien à dit à lui, son fils, alors qu'il était tout de même l'un des principaux concernés, avec Altaïr ... Et puis une partie entière de lui continuait à l'adorer et à la vénérer, malgré tout. Elle avait quand même eu une force surpuissance pour cacher toute cette vérité depuis des années, sans jamais laisser quoi que ce soit filtrer ... Mais aujourd'hui, les choses étaient encore plus compliquées. Parce que sa mère n'était plus là. Elle était partie. Pas simplement d'Athènes, pas juste de Grèce. Partie. Pour toujours. Elle avait rejoint les anges, comme on dit. On la leur avait enlevé, arraché. Et le deuil était impossible pour Aslan. Parce que la peine était trop grande. Parce que la plaie était loin de pouvoir se refermer, parce qu'elle avait été tuée, ou assassinée, c'était pareil, et que le principal responsable et ses potes étaient encore en cavale. Et Aslan n'avait plus que ses yeux pour pleurer et ses poings pour maudire les murs. Ça, et puis ce type dont il ne connaissait pas le nom, et qui lui offrait des informations sur un plateau d'or, pour peu qu'il résolve pour lui quelques petits soucis et qu'il se salisse les mains pour lui.

Et c'était ce qu'il faisait, depuis. Il détestait cela, mais il n'avait pas d'autre choix, n'est-ce pas ? Tout ceci sentait le soufre depuis le début, de toute façon. En tant que lieutenant, il avait certains accès et ses entrées dans les fichiers de la police et de la justice. Et il n'avait rien trouvé dans le rapport d'autopsie et dans le rapport d'enquête sur la mort de sa mère. Rien de concluant, en tout cas. Et il pourrait mobiliser toutes ses ressources, il n'arriverait à rien de par lui-même, parce qu'il avait déjà essayé, pendant des heures, enchaînant les nuits blanches et les journées de garde, juste pour être sur place et pour continuer de chercher. Et ce type, là, il prétendait avoir des informations. Bien évidemment, Aslan n'avait pas gobé tout ça sans rien dire, sans demander des preuves. Et des preuves, il en avait eu, sous la forme d'une ou deux infos qui n'avaient pas figuré dans le rapport d'enquête et qui, pourtant, s'étaient avérées exactes. Il avait vérifié de lui-même, et plus d'une fois, en plus. Mais il n'avait s'agit que d'informations annexes, qui ne l'avaient en rien aider à y voir plus clair, à tout comprendre, à démêler les fils et à aller de l'avant. Alors il n'avait pas le choix. Il devait continuer, même si cela lui hérissait un peu le poil, parce qu'il détestait avoir la sensation de n'être qu'un pantin dont un autre que lui tenait les ficelles. Cependant ... Cependant, il devait avouer que certaines des missions qui lui avaient été données lui procuraient quelques petits frissons et des petites excitations qu'il n'assumait pas forcément entièrement. Il jouait au chat et à la souris avec cette gamine, par exemple, et puis, il y avait cette jolie blonde. Il ne saisissait pas encore entièrement tous les tenants et tous les aboutissants qui la concernaient, mais il ne s'empêchait pas de continuer de gratter, d'enquêter, de farfouiller, de mettre le nez dans des affaires qu'on estimait ni le regarder, ni le concerner. Il la cherchait sans encore trop bien la trouver. Encore une fois, son mystérieux commanditaire avait usé de bien des zones de brouillard. Il connaissait son titre, et ses zones de divagations habituelles, mais guère plus. Les fragments de restes, il les avait trouvés de par lui-même, comme un grand, ou plutôt comme l'excellent lieutenant de police qu'il était. Suffisamment excellent, en tout cas, pour gravir les échelons là où ses camarades de promo' en étaient encore rendus à faire la circulation aux carrefours et à aller visiter les petites mémés qui se plaignaient du tapage nocturne de leurs voisins à 6h du soir ... Mais il ne s'agissait pas d'être excellent ou pas. Il s'agissait d'être performant, et pour l'instant, il ramait un peu dans la semoule, si l'on peut dire ça comme ça.

Il ne pensait pas toujours à ça, ou plutôt pas toujours à elle. Les missions s'accumulaient, parce qu'évidemment, il y avait aussi son boulot de flic, plus sa maigre vie personnelle. Il était assez superficiel dans bon nombre de ses relations. Il ne s'attachait pas réellement aux gens, mais il collectionnait les amitiés. Et les conquêtes, aussi. Mais dans les deux configurations, perdre de vue l'un de ces amis ou l'un de ces coups d'un soir ne lui faisait ni chaud ni froid, pas plus que cela ne le chagrinait. Un de perdu, ... Enfin, vous connaissez la maxime, et vous comprenez le délire. Mais il ne pouvait tout de même pas s'empêcher de s'attacher, quelques fois, comprenant très bien que la solitude n'était pas la solution. De toute façon, son jumeau ne le laisserait jamais tomber dans de tels délires. Il le choperait par la peau du cul et lui secouerait les puces, sans se gêner. Et Altaïr était bien la seule personne qu'il permettait de tenir un tel comportement avec lui. Les autres se mangeaient un pain avant même d'avoir eu le temps de cligner des yeux. Ouais, Aslan n'était certes pas le pire des salauds qui soient, mais il n'avait rien non plus d'un enfant de chœur. C'était peut-être pour ça qu'il avait ces réactions assez particulières. Un autre que lui aurait sans doute pris le temps de mieux analyser la situation avant de sortir son arme de service. Voire même il n'y aurait pas du tout eu d'arme de service dégainée. Mais lui, son réflexe, en sentant ces pas derrière lui et en entendait ces quelques mots, ce fut de sortir son arme et de la pointer en direction de l'intruse. De l'invitée. Appelez-la comme vous voulez, mais Aslan ne lui avait en rien donné rendez-vous, ni quoi que ce soit du même genre. Il avait alors eu tôt fait de balancer sa clope dans un mouvement sec alors que son autre main se chargeait d'extirper son arme de son étui de protection. Et maintenant, ils se tenaient l'un face à l'autre ...
    « C'est tout à fait possible. Mais il va falloir être un peu plus précise sur ton identité ma belle. Des gens, j'en cherche des tonnes ... »
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